La communauté internationale célèbre la Journée mondiale du cœur.

En effet, les affections cardiovasculaires, à un stade avancé ou plus graves, sont très fréquentes, premier motif de mortalité et donc d’hospitalisation. La prise en charge des affections liées aux maladies cardiovasculaires au Gabon cause un problème.

Les coûts engendrés par la prise en charge médicale de ces affections sont élevés du fait de cette grande fréquence, mais aussi de la forte technicité des soins que cela implique.

C’est au regard de toute la complexité liée au traitement des maladies cardio-vasculaires que l’ensemble du corps médical international et national  recommande une participation active de toute la société pour prévenir contre les maladies cardiovasculaires. 

En effet, la prévention des facteurs de risque va agir sur l’absence de consommation de tabac, éviter l’obésité. Les entreprises doivent favoriser la pratique du sport sur le lieu du travail, instaurer et exiger plus de fruits et légumes dans les cantines scolaires et faire les dépistages précoces.

Car lorsqu’il est diagnostiqué tôt, la prise en charge est meilleur.

Au Gabon le taux de victimes est très élevé. On y trouve des adultes du troisième âge,  des jeunes des ados et même des nouveau nés avec des problèmes cardiovasculaires. Et ceci liés à la mauvaise alimentation.

Pour ce faire, le gouvernement devrait également mettre en place un programme de sensibilisation au moins deux fois l’année et devrait favoriser  l’adaptation à une vie saine.  En revoyant par exemple la mercuriale pour ainsi permettre au citoyens d’accéder à de produits sains à de pris abordables. Aussi, celui-ci devrait favoriser l’accès à sites publics pour des activités sportives.